Best Selling Books by Nadeem Aslam

Originally published: London: Faber and Faber, 2017.

‘Love is not consolation, it is light’ From the author of Maps for Lost Lovers and The Wasted Vigil comes a novel set in the months after 9/11, when Western armies invaded Afghanistan—a story of love, hope and grief, of uncorrupted faith and of what it means to be alive. Jeo and his foster-brother Mikal leave their home in Pakistan to help care for wounded Afghans. Within hours of entering the wide-horizoned Afghan landscape, Mikal and Jeo are separated and, emerging from the carnage, Mikal begins his search for Jeo. But his deepest wish is to return home—to the young woman he loves and who loves him, Jeo’s wife. The Blind Man’s Garden maps a place both phantasmally beautiful and chilling. Taking us on a journey from Al Qaeda’s hideouts in Waziristan and American-built military prisons to a family left behind—Mikal’s and Jeo’s blind, regretful father, Jeo’s resolute wife and her superstitious mother—it unflinchingly examines war and brotherhood, devastation, separation and remorse, while celebrating the redemptive power of nature, art and literature.

The first novel by the author of Maps for Lost Lovers: a powerful and exquisitely written story set in a small town in Pakistan after the murder of a corrupt and prominent local judge. When a sack of letters that were thought to have disappeared in a train crash nineteen years earlier reappears under mysterious circumstances, the inhabitants of a secluded Pakistani village wait anxiously to see what secrets may come to light. Could the letters hold any information about Judge Anwar''s murder? As Aslam traces the murder investigation over the next eleven days, he explores the impact that these two events have on a variety of people in the town--from the surviving family of the judge to a journalist reporting on the delivery of the mail packet. With great attention to detail and beautiful scenes that explore the daily rhythms of life in Pakistan, Aslam creates an exotic and timeless world whose traditional rituals are played out against an ominous backdrop of faraway civil wars, assassinations, changing regimes, and religious tensions.

In The Wasted Vigil, Nadeem Aslam, the award-winning author of Maps for Lost Lovers, brilliantly knits together five seemingly unconnected lives to create a luminous story set in contemporary Afghanistan.There’s Marcus, an English expat who was married to an outspoken Afghani doctor; David, a former American spy; Lara, from St. Petersburg, looking for traces of her brother, a Russian soldier who disappeared years before; Casa, a young Afghani whose hatred of the Americans has plunged him into the blinding depths of zealotry; and James, an American Special Forces soldier. Aslamreveals the intertwining paths that these characters have traveled, constructing a timely and intimate portrait of the complex ties that bind us and the wars that continue to tear us apart.

Set in a nameless British town that its Pakistani-born immigrants have renamed Dasht-e-Tanhaii, the Desert of Solitude, Maps for Lost Lovers is an exploration of cultural tension and religious bigotry played out in the personal breakdown of a single family. As the book begins, Jugnu and Chanda, whose love is both passionate and illicit, have disappeared from their home. Rumours about their disappearance abound, but five months pass before anything certain is known. Finally, on a snow-covered January morning, Chanda’s brothers are arrested for the murder of their sister and Jugnu. Maps for Lost Lovers traces the year following Jugnu and Chanda’s disappearance. Seen principally through the eyes of Jugnu’s brother Shamas, the cultured, poetic director of the local Community Relations Council and Commission for Racial Equality, and his wife Kaukab, mother of three increasingly estranged children and devout daughter of a Muslim cleric, the event marks the beginning of the unravelling of all that is sacred to them. It fills Shamas’s own house and life with grief and, in exploring the lovers’ disappearance and its aftermath, Nadeem Aslam discloses a legacy of miscomprehension and regret not only for Shamas and Kaukab but for their children and neighbours as well. An intimate portrait of a community searingly damaged by traditions, this is a densely imagined, beautiful and deeply troubling book written in heightened prose saturated with imagery. It casts a deep gaze on themes as timeless as love, nationalism and religion, while meditating on how these forces drive us apart.

El jardín de un hombre ciego narra los problemas provocados por el choque de culturas en el ámbito familiar con el terrorismo como telón de fondo. La historia se desarrolla a lo largo de un mes clave de nuestra historia: el octubre que precedió al 11-S. El jardín de un hombre ciego comienza en Pakistán con Gio y su hermano Mikal, que abandonan su casa para ir a la guerra de Afganistán. Gio muere en la batalla y Mikal, que no sabe de su muerte, emprende una denodada búsqueda para encontrarlo. Pero su mayor deseo es volver a casa junto a su amante (la mujer de Gio), que lo espera ocupándose de un anciano ciego atormentado por los errores que cometió durante su vida en nombre del Islam y de la Nación.

Aux abords de la ville de Zamana, lorsqu''une fusillade éclate entre des tueurs pakistanais et un espion américain, la vie de Nargis bascule. Pris dans les tirs croisés, Massud, son mari, architecte comme elle, épris de beauté et de justice, meurt avant qu''elle ait pu lui avouer son terrible secret. Menacée par un officier des services du renseignement qui la somme d''accorder son pardon au meurtrier américain, Nargis craint que la vérité sur son passé n''éclate au grand jour. Car depuis quelque temps, du haut des minarets de la ville, un inconnu dévoile l''intimité de certains habitants. Dans un pays où les accusations de blasphème sont monnaie courante, ces dénonciations anonymes sèment la terreur parmi la population. Nargis prend alors la fuite en compagnie de deux jeunes gens, Helen, la chrétienne, et Imran, le mystérieux Cachemirien, à la recherche d''un îlot de paix et d''amour, loin de la violence et de la folie des hommes. Par la magie de cette prose lumineuse qui caractérise le style de Nadeem Aslam, le passé et le présent du Pakistan, marqués par la corruption, l''intolérance, mais aussi la résilience et l''espoir, se reflètent dans un même miroir. Nadeem Aslam, né au Pakistan en 1966, a quatorze ans lorsque sa famille, fuyant le régime du général Zia, s''installe en Angleterre. Après des études à l''université de Manchester, il se consacre à l''écriture. Le Sang et le Pardon est son cinquième roman, en cours de publication dans une douzaine de pays où son talent est largement reconnu. Son œuvre est publiée aux Éditions du Seuil. Traduit de l''anglais par Claude et Jean Demanuelli " Aslam est un maître des mots et des images saisissantes. " The Times Claude et Jean Demanuelli, agrégés d''anglais, universitaires, prix Rhône-Alpes du livre 2007 pour la traduction et prix Baudelaire 2010, ont signé ensemble ou séparément plus de soixante-dix traductions des œuvres de Virginia Woolf, Henry James, John Updike, Richard Powers, Susan Minot, Zadie Smith, Muriel Spark ou Rose Tremain, mais aussi de celles de représentants des littératures indienne et pakistanaise anglophones, dont Arundhati Roy, Hari Kunzru, Shashi Tharoor, Nadeem Aslam ou Kiran Desai. " Des pages déchirantes et révélatrices qui rappellent l''univers de Joseph Conrad. " Stephen King " Un livre traversé par une rage silencieuse et une beauté fulgurante. "The Economist " Malgré la souffrance et la cruauté qu''il décrit, Le Sang et le Pardon est un livre réconfortant grâce à la foi d''Aslam dans l''intégrité et le courage de ses personnages. " Francine Prose, The New York Times Book Review

Une bourgade anonyme du Pakistan, à l''ombre de deux mosquées concurrentes, est secouée par deux événements simultanés : le meurtre du puissant juge Anwar, et la réapparition mystérieuse d''un sac postal égaré dix-neuf ans plus tôt dans un accident de chemin de fer. Quels secrets enfouis depuis longtemps ces lettres vont-elles révéler ? Alors que la mousson approche et que la touffeur moite devient de plus en plus écrasante, les passions se déchaînent au sein de la petite communauté, menaçant de la faire éclater, laissant ses différents acteurs troublés et désemparés. Chronique sociale, portrait du paysage politique et religieux du Pakistan au début des années 1980, Le Cri de l''oiseau de pluie, premier roman de Nadeem Aslam, vient compléter l''œuvre publiée et saluée d''un auteur qui compte désormais parmi les grands de la littérature. On y trouve déjà la prose assurée et poétique, la voix forte d''un écrivain qui n''a de cesse de dénoncer l''intolérance. " L''un des premiers romans les plus impressionnants qu''il m''a été donné de lire. " Salman Rushdie " Un modèle de narration resserrée et d''écriture dépouillée. " The Observer Traduit de l''anglais (Pakistan) par Claude et Jean Demanuelli Nadeem Aslam, né au Pakistan en 1966, a quatorze ans lorsque sa famille fuit le régime du général Zia et s''installe en Angleterre. Après des études à l''université de Manchester, il se consacre à l''écriture. Avant Le Cri de l''oiseau de pluie, le Seuil a publié La Cité des amants perdus (2006), finaliste du Booker Prize, La Vaine Attente (2009) et Le Jardin de l''aveugle (2013), sélectionnés par plusieurs prix littéraires français et étrangers. L''œuvre de Nadeem Aslam est publiée dans une douzaine de pays. L''auteur partage aujourd''hui son temps entre l''Angleterre et le Pakistan. Claude et Jean Demanuelli, agrégés d''anglais, universitaires, prix Rhône-Alpes du livre 2007 pour la traduction et prix Baudelaire 2010, ont signé ensemble ou séparément plus de soixante-dix traductions des œuvres de Virginia Woolf, Henry James, John Updike, Richard Powers, Susan Minot, Zadie Smith, Muriel Spark ou Rose Tremain, mais aussi de celles de représentants des littératures indienne et pakistanaise anglophones, dont Arundhati Roy, Hari Kunzru, Shashi Tharoor, Nadeem Aslam ou Kiran Desai.

Dans les mois qui suivent les attentats du 11 Septembre, deux jeunes gens, Jeo et son frère adoptif Mikal, l’un étudiant en médecine, l’autre rompu au maniement des armes, quittent leur bourgade du Nord pakistanais et se rendent clandestinement en Afghanistan pour porter secours à leurs frères musulmans. Jeo laisse derrière lui Naheed, la beauté qui est devenue son épouse, et son père Rohan, veuf inconsolable qui perd peu à peu la vue. Seul réconfort : son jardin superbe. Fondateur d’une école, Rohan en a été chassé par les islamistes qui préparent les élèves au djihad. Mikal, amoureux fou de Naheed, a préféré s’éloigner d’elle par respect pour Jeo. Mais, très vite, Mikal et Jeo sont séparés, engloutis dans la spirale des affrontements qui opposent Américains et talibans et qui profitent aux seigneurs de guerre.Le Jardin de l’aveugle est traversé par une telle intensité d’émotions et un tel souffle poétique que le lecteur en sort ébranlé. Nadeem Aslam met en scène avec une empathie exceptionnelle des personnages bousculés, malmenés par le destin. La mort est omniprésente mais la vie aussi, vibrante de couleurs, de parfums et d’amour. Ici il n’y a qu’une leçon à retenir, celle de vivre à tout prix.Nadeem Aslam, né au Pakistan en 1966, a quatorze ans lorsque sa famille, fuyant le régime du général Zia, s’installe en Angleterre. Après des études à l''université de Manchester, il se consacre à l''écriture. Le Jardin de l’aveugle est son quatrième roman après Season of the Rainbirds (1993, en cours de traduction), La Cité des amants perdus (Seuil, 2006), sélectionné par le Booker Prize, et La Vaine Attente (Seuil, 2009), salué partout comme un événement littéraire. Son œuvre est publiée dans plus de dix pays.Claude et Jean Demanuelli, agrégés d’anglais, universitaires, prix Rhône-Alpes du livre 2007 pour la traduction et prix Baudelaire 2010, ont signé ensemble ou séparément plus de soixante-dix traductions des œuvres de Virginia Woolf, Henry James, John Updike, Richard Powers, Susan Minot, Zadie Smith, Muriel Spark ou Rose Tremain, mais aussi de celles de représentants des littératures indienne et pakistanaise anglophones, dont Arundhati Roy, Hari Kunzru, Shashi Tharoor, Nadeem Aslam ou Kiran Desai.

Dans une ville anonyme du nord de l''Angleterre, Chanda et son amant, l''entomologiste Jugnu, ont disparu. De méchantes rumeurs agitent la communauté pakistanaise en butte à un enseignement de l''islam perverti, un code de l''honneur qui peut mener au meurtre, un racisme blanc qui n''a rien à envier à la cruauté et à l''intolérance de ses victimes. Ce formidable récit d''une résonance singulièrement actuelle explore les tourments d''une famille emblématique durant l''année qui suit le drame. Il évoque aussi la nostalgie du pays perdu et des racines oubliées. Mêlant avec un égal bonheur analogie et métaphore, sa prose poétique lui confère un ton élégiaque et une grande unité esthétique, soutenue par le lent mouvement des saisons, qui viennent contrebalancer la violence des conflits humains et souligner la beauté autant que la brutalité de ce monde.

Wenn ein Leben nur in der Lüge möglich ist In dem Moment, als auf der Grand Trunk Road Schüsse zu hören sind, beginnt Nargis'' Leben zu zerbrechen. Ihr Ehemann gelangt versehentlich ins Kreuzfeuer und stirbt, bevor sie ihm die Wahrheit über ihre Vergangenheit beichten kann. Schon seit Längerem fürchtet sie, dass diese bald ans Licht kommen wird: Ein Unbekannter verkündet regelmäßig Geheimnisse der Anwohner vom Minarett der örtlichen Moscheen und versetzt damit Muslime und Christen gleichermaßen in Angst. Als die Lautsprecher die verbotene Liaison ihres Nachbarn mit der Tochter des muslimischen Geistlichen aufdecken, sind die Einschläge so nah, dass Nargis handeln muss ... In der für ihn typischen leuchtenden Prosa erzählt Nadeem Aslam eine Geschichte über Fanatismus, Widerstandsvermögen und die Lügen, die manchmal nötig sind, um zu überleben. Ein mutiger, zeitgemäßer und schmerzlich schöner Roman, in dem sich Pakistans Vergangenheit und Gegenwart spiegeln.

Il libro dell''acqua e di altri specchi si apre in una città fittizia chiamata Zamana, in Pakistan. Nargis e Massud sono una coppia di architetti, uniti da un''affinità elettiva con cui hanno sapientemente modulato ogni fase della loro relazione. Eppure Nargis ha nascosto per tutta la vita al marito un elemento fondante e pericoloso della sua identità: è nata cristiana, con il nome di Margaret, ma crescendo si è finta musulmana per sfuggire agli abusi e alle oppressioni. Quando Massud muore in uno scontro a fuoco, la vita di Nargis inizia a sgretolarsi. Intanto qualcuno si serve degli altoparlanti dei minareti per rivelare i segreti e le dissolutezze degli abitanti, diffondendo il terrore in un Paese in cui l''accusa di blasfemia può costare la vita. I misteriosi annunci presto diventano persecuzioni e Nargis sarà costretta a fuggire. In questo mondo al limite della distopia, diverse trame amorose si liberano come fiumi in piena e con la loro poesia fanno da contraltare all''orrore. Questo romanzo è un ritratto rivelatore dello spirito umano, una storia di corruzione e resistenza, di amore e terrore, e delle maschere che a volte è necessario indossare per salvarsi. Il libro dell''acqua e di altri specchi è al contempo una storia di formazione sentimentale, uno studio sulla perdita e un ritratto lucido dei conflitti che pervadono il Pakistan contemporaneo. È un romanzo importante dalla prosa cristallina e dai personaggi abilmente caratterizzati nelle loro sfumature emotive. Seppure crudo nella rappresentazione del brutale esercizio del potere, è un inno alla resilienza. – Laura Garmeson, Financial Times Aslam ha costruito un corpus di opere in cui descrive nel dettaglio il peggio cui gli uomini possono arrivare e ci è riuscito usando una prosa che suggerisce le possibilità salvifiche dell''arte. Orrore e bellezza convivono in un equilibrio precario. – Peter Parker, The Spectator Sbalorditivo... un romanzo magistrale, con una complessa stratificazione di simboli e una trama puntellata di colpi di scena drammatici fino all''ultima frase. – Rebecca Steinitz, The Boston Globe

Met een poëtische intensiteit en weergaloos empathisch vermogen portretteert Nadeem Aslam in De gulden legende de moslimweduwe Nargis, haar christelijke pleegdochter Helen en de jonge ex–guerrillastrijder, Imram, die door de vrouwen in bescherming wordt genomen. Samen moeten ze op de vlucht slaan voor buren die opgehitst zijn door de blasfemiewetgeving in het hedendaagse Pakistan – een religieus vuur dat de christelijke gemeenschap, maar ook hun provinciestad in as dreigt te leggen. Ondertussen bloeit er tussen de pleegdochter en de strijder een verboden liefde en dreigt een belangrijk geheim van de weduwe ontbloot te worden. Dostojevski, Orwell, Milosz, Tolstoj, Márquez, Naipaul: Nadeem Aslam staat in het rijtje grote schrijvers die de actuele politiek in hun romans verwerken. Maar deze actualiteit is slechts een hulpmiddel. Waar het Aslam om gaat zijn de personages van vlees en bloed, om Nargis, Helen en Imram: hoe ze liefhebben, verlies lijden, blijdschap vieren, van goed tot slecht veranderen, of andersom.

Ein großer Roman über die Liebe und ihre alle Grenzen überwindende Kraft.

Le tribolate vicende di questo romanzo, ambientato tra il Pakistan e l’Afghanistan invaso dagli americani dopo l’11 settembre, si snodano sullo sfondo di un giardino incantato, come ad assorbire la violenza di ciò che accade intorno, contrapponendo l’innocenza della natura alla crudeltà degli uomini e alle loro guerre insensate. Il giardino appartiene al vecchio Rohan, saggio e devoto musulmano che ha costruito un’oasi di pace nella città pachistana di Heer – una scuola aperta ad allievi di ogni credo religioso – nel tentativo di allargare gli orizzonti di giovani altrimenti facili prede del fondamentalismo islamico nelle madrasse. Ma le speranze di Rohan di porre un freno alle violenze della guerra che infuria oltreconfine saranno tragicamente deluse: i suoi stessi figli, Jeo e Mikal – partiti in segreto per l’Afghanistan per contribuire alla liberazione del paese dalla tirannia talebana –, vengono rapiti dai fondamentalisti e costretti a partecipare alla jihad, a combattere contro il popolo che avrebbero voluto difendere. Mentre Rohan pota le rose del giardino, Jeo viene ucciso e Mikal è venduto agli americani dal signore della guerra che lo ha catturato. Dopo essere stato internato in un campo di prigionia americano, il giovane cercherà di fuggire attraverso il deserto afghano. Note a margine di una sconfitta è soprattutto la lotta fra due mali: da una parte, il fondamentalismo di ogni credo; dall’altra, l’imperialismo camuffato da democrazia. Nessun bene trionfa, alla fine. C’è solo una condanna senza appello in un panorama di crudeltà diffusa, dove l’unica vittima è il popolo afghano e tutti gli altri, dai talebani agli americani, ai signori della guerra, sono carnefici.

De levens van drie buitenlanders in het hedendaagse Afghanistan raken verstrengeld door de oorlog en de nasleep ervan.

Opening with a child''s ascension to the throne of the Xie Empire, Su Tong''s latest novel is a historical tour de force. Charting courtly life, he vividly evokes many characters - the concubines, eunuchs, advisers and protectors - but it is the portrait and narration of the tale by the child emperor, a boy of few talents who is suddenly thrust into a position of power, which is most compelling. Constantly facing a threat from the two step-brothers who covet his position, and unsure of the intentions of his mysterious grandmother, Lady Huangfu, his rule is characterised by fear, incompetence and his own unchecked cruelty. Can the child ruler gain a greater understanding of human existence and compassion and stave off the curse that haunts him - or will his rule ultimately be recorded as one of slaughter, decadence and failure? An extraordinary and chilling dramatisation of the dark side of nation-building, Su Tong''s latest novel is above all a brilliant exploration of the complexities and failings of human nature.

Amor e intolerância religiosa. Em uma cidade ao norte da Inglaterra, o casal paquistanês Jugnu e Chanda desaparece. Os dois viviam juntos em uma união informal, o que fere as leis do islamismo. Na comunidade de migrantes, há boatos de que a família dos amantes os teria punido como resposta ao desrespeito sagrado. Alguns dias depois, o casal é encontrado morto. É este justamente o ponto de tensão do romance do paquistanês Nadeem Aslam, radicado na Inglaterra desde os 14 anos.

Twee pleegbroers uit Pakistan reizen naar Afghanistan om de gewonden te helpen nadat de Verenigde Staten de aanval op het land hebben ingezet.

O Afeganistão é o cenário deste romance cujos três personagens principais, todos estrangeiros, estão ligados ao país por suas perdas. A trama converge para uma casa cujas paredes e os ocupantes carregam cicatrizes da História. De uma narrativa belíssima emergem memórias do choque dos afegãos quando o suicídio foi proposto pelos Estados Unidos como forma de combater os russos, da independência feminina antes da chegada do Talibã e dos 2 milhões de mortos nos conflitos.

Lara se rend à la frontière pakistano-afghane, sur les traces de son frère disparu vingt ans plus tôt. Là, elle rencontre Marcus, un médecin anglais redus dans sa maison jadis pleine de vie, de parfums et de livres. Depuis que les talibans sont venus y semer la mort, il désespère de revoir son petit-fils. Lara et Marcus se retrouvent face à des fantômes dont les destins sont étrangement liés.