New Releases by David Graeber

Comment le capitalisme a-t-il fini par imposer son mode de vie au point de paraître naturel ? Peut-on décrire ses fins ? Peut-on penser sa fin ? Pour répondre, un homme se dresse, irréductible et inventif. Son objectif : ouvrir les possibles de la pensée et de l''action pour démasquer les fins du capitalisme. Son amine : l''anthropologie comparée. Son style : l''étude archéologique. Le capitalisme n''est pas une évolution indépassable. En quatre essais novateurs qui se lisent comme des aventures, David Graeber reconsidère ses fondements et élargit nos horizons. Que se passerait-il si la hiérarchie n''avait rien d''une structure nécessaire à la vie sociale ? Si le travail salarié était l''héritier direct de l''esclavage ? Si la notion de "consommation" exprimait un idéal de destruction ? Et si le fétichisme était plus fort et plus rigide dans le capitalisme que dans les sociétés dites primitives ? Graeber interroge, excite, provoque, laissant le lecteur face à une question : comment, aujourd''hui, retrouver le sens des possibles ?

反對，是為了生存； 公民覺醒是為了守護得來不易的民主； 上街頭是為了追求更有尊嚴的未來！ 李茂生（台灣大學法律學院教授） 何明修（台灣大學社會系教授） 陳俊宏（東吳大學政治系副教授） 張鐵志（《號外》雜誌總編輯兼《彭博商業周刊中文版》總主筆） 孫友聯（台灣勞工陣線祕書長） 孫窮理（苦勞網記者）專文推薦 王丹（中國民運人士） 何穎怡（商周出版選書顧問） 吳叡人（中研院台灣史研究所副研究員） 李惠仁（紀錄片導演） 姚人多（清華大學社會所副教授兼所長） 黃孫權（高師大跨藝所助理教授） 黃哲斌（媒體工作者） 黃國昌（中研院法律學研究所副研究員）聯手推薦 以上皆按姓氏筆畫排列 「整個社會中階層向上移動，已經成為無法實現的夢想。值此之際，一種古老的生活方式、一種不斷被傳統民主體制壓抑到社會邊緣的生活圈，或許就是另一個讓我們恢復尊嚴的選擇。」——李茂生 「如何思考社運組織的內部民主？如何思考國家暴力的本質？如何判斷公民不服從是否『是』非暴力的？……書中不斷挑戰我們習以為常的想法，並用具體行動激發我們探索民主實踐的各種可能，確實開拓了我們對另類政治實踐的想像空間。」——陳俊宏 「反抗精神與行動的極佳見證。作者也大聲提醒我們，民主自由絕非從天而降、不勞而獲，而是需要奮力爭取。」——黃哲斌（媒體工作者） 「資本主義由全球化發展到區域經濟體，扯碎了工人階級的連帶，也造成全球性的分配不均現象，對於像格雷伯這樣的行動者而言，已經難以使用在全球資本競租環境下被扯得支離破碎的『工人階級』來描述行動的主體，而採取了『百分之九十九』對『百分之一』這個模糊的概念……對於促成趕上這一個早已跨越國境的對話與行動，格雷伯的諄諄之言，應當是重要的開始。」——孫窮理 原本只是一則雜誌上的廣告，邀請大家在 2011年9月17日一起上街頭，占領華爾街；這樣單純的籲請，如何演變成一場全球矚目的公民運動，且影響力延燒至今？ 大衛‧格雷伯以「占領華爾街」發起人之一的角度，翔實觀察了占領行動的始末，並分析了行動的原因與獲致成功的諸多因素。 身為一個相對溫和的無政府主義者，格雷伯重新耙梳了民主的定義：民主不是只彰顯在投票的那一刻，而是一種基於人人在根本上平等的信念，允許人們以充分且平等參與的方式，運用各種有利的手段，去決定集體的事務。 格雷伯也以資深社運人士的經驗，分享了公民行動中取得共識決的操作原則，如何「占領」及「解放」各種公共空間，以及如何在既有的權威之外，建立起平等且廣泛參與的自治生活。 所謂革命、行動與公民不服從，從來就沒有固定的形式，其所激盪出的思想轉換卻是永久的。我們所要做的，不是顛覆掉一切既存的體制，而是不斷擴展自由的範圍，直到它成為生活中的終極價值。 出版社 商周出版 (城邦)

Si può definire democratico un sistema politico che tutela i più ricchi e abbandona il 99% della popolazione? Gli strumenti di questa democrazia, la democrazia liberale, non sono in grado di affrontare e risolvere la crisi in atto. È necessario un cambiamento sociale per realizzare una democrazia reale e riportare al centro del dibattito la disuguaglianza economica. David Graeber osserva come non siano più l''industria e il commercio a determinare la ricchezza, bensì la pura speculazione con la creazione di complicati strumenti finanziari. Lontana dall''economia reale, la finanziarizzazione del capitalismo è una vera e propria collusione tra governo e istituzioni finanziarie mirata a indebitare una percentuale sempre più alta di cittadini e ad arricchirne una sempre più esigua. I governi non riflettono più il volere del popolo né il consenso popolare. È quindi impossibile parlare ancora di democrazia. Le lobby influenzano qualunque decisione, i rappresentanti dei cittadini finiscono per rappresentare più i finanziatori che gli elettori: questa è la convinzione di David Graeber e del movimento Occupy Wall Street che, nel settembre 2011, catturò l''attenzione del mondo a Zuccotti Park, a metà strada fra Wall Street e il World Trade Center. Per circa due mesi, senza usare violenza ma con determinazione, senza partiti e senza leader, le proteste degli attivisti raccolsero il consenso della maggioranza degli americani, infuriati contro banchieri e alta finanza. Partendo da Zuccotti Park, Graeber accompagna i lettori in un''esplorazione della democrazia, rileggendone provocatoriamente la storia per capirne l''attualità – dalla nascita ad Atene alla fondazione degli Stati Uniti d''America, alle rivoluzioni del xx secolo, ai movimenti del xxi – e presenta un modello nuovo di democrazia reale, partecipata e orizzontale conquistata attraverso un consenso diffuso nelle decisioni e l''azione diretta. Dopo aver denunciato i meccanismi perversi all''origine della crisi economica di Europa e Stati Uniti in Debito. I primi 5000 anni, con Progetto democrazia Graeber vuole recuperare lo spirito ugualitario della vera democrazia contro l''arroganza del privilegio finanziario e politico.

David Graeber, anthropologue atypique, à la fois professeur à la London University et l’un des initiateurs d’Occupy Wall Street, a fait une entrée fracassante à la fois sur la scène scientifique et sur la scène politique en montrant comment un des facteurs qui maintiennent les peuples sous le pouvoir des banques est le sentiment moral que toutes les dettes doivent être remboursées. Un sentiment né il y a 5000 ans en même temps que l’État, le marché, les grandes religions... et l’esclavage. La thèse fascine et appelle à la discussion. Notamment sur le point de savoir au nom de quelle conception de la démocratie elle peut être tenue. Sur cette question, dans un texte écrit en 2005 pour La Revue du MAUSS semestrielle et repris dans ce livre, l’érudition et le brio de D. Graeber font encore merveille. Non, montre-t-il, l’Occident est loin d’avoir le monopole de la démocratie, et, contrairement à l’opinion omniprésente, ce n’est sûrement pas la "culture occidentale" qui l’a fait apparaître et prospérer. Si on entend le mot culture au sens anthropologique, il apparaît en effet que la culture occidentale est introuvable (d’où une réfutation savoureuse et convaincante des thèses de Samuel Huntington). Et si on entend par culture la culture des lettrés, alors il n’est pas difficile de se convaincre que ceux-ci, en Occident comme ailleurs, se sont constamment opposés à la démocratie. Celle-ci, en réalité, ne naît et ne vit que dans les marges des systèmes de pouvoir. Où l’on voit toute la force d’une anthropologie anarchiste, revendiquée comme telle, et qui n’avait rien produit d’aussi puissant depuis Pierre Clastres. Reste, cependant, que tout le monde ne peut pas vivre dans les marges et hors pouvoir, et qu’il faut donc se demander ce qu’il peut et doit subsister de l’esprit de la démocratie dans le cadre des sociétés étatiques.

Over the last 30 years, wages have stagnated and average household debt has more than doubled. People are forced to take on debt to meet their everyday needs like housing and education, leading to devastated communities and an increasing reliance on credit to maintain basic living standards. This system enriches the lives of few at the expense of many. The Debt Resisters'' Operations Manual is a handbook for debtors everywhere to understand how the debt system really works, while providing practical tools for fighting debt in its most exploitative forms.

Voici un livre capital, best-seller au États-unis – plus de 100 000 exemplaires – et en Grande-Bretagne, en cours de traduction dans plus de dix pays, commis par l’un des intellectuels les plus influents selon le New York Times, initiateur d’Occupy Wall Street à New York. Un livre qui remet en perspective l’histoire de la dette depuis 5000 ans et développe une approche totalement nouvelle. Il démontre magistralement que le système de crédit précède la naissance de la monnaie et que la dette a donc toujours structuré nos systèmes économiques et nos rapports sociaux. Il montre également que le vocabulaire des écrits juridiques et religieux de l’Antiquité (des mots comme « culpabilit頻, « pardon » et « rédemption ») est issu en grande partie de ces affrontements antiques sur la dette, et qu’il fonde jusqu’à nos conceptions les plus fondamentales du bien et du mal. Sans en avoir conscience nous livrons toujours ces combats. Un essai passionnant et essentiel qui nous permet de mieux comprendre l’histoire de notre passé, celui de la crise des crédits en cous ainsi que l’avenir de notre économie. David Graeber enseigne l’économie et l’anthropologie à l’université de Londres. Il sera à Paris en septembre pour défendre son livre devant les médias.

Respektovaný ekonom Tomáš Sedláček si s publicistou Romanem Chlupatýmk debatě přizval amerického anarchistu Davida Graebera, jednoho z vůdců světového hnutí Occupy, ale též uznávaného antropologa a autora světového bestselleru Dluh: prvních 5000 let.

Fliegende Autos, sprechende Computer, Kolonien auf dem Mars, Maschinen, die für uns die Arbeit erledigen: Was hat die Technik uns nicht alles versprochen in den glorreichen Jahrzehnten von Star Trek bis Zurück in die Zukunft. Doch wo sind all diese Wunderdinge heute? Über vierzig Jahre nach der ersten Mondlandung ist von der damaligen Technikeuphorie kaum etwas geblieben. Wir fahren nach wie vor mit fossilen Brennstoffen, Sprachsysteme bei Computern stecken bestenfalls noch in den Kinderschuhen und statt Robotern produzieren junge Frauen in Dritte-Welt-Ländern unsere billigen Waren. David Graeber entlarvt den Schuldigen: Es ist der Neoliberalismus, der uns seit Jahrzehnten in seinen Klauen hält, der eine echte Weiterentwicklung verhindert. Statt Innovationen hervorzubringen, lässt er die Systeme nur immer komplexer werden.Wir stecken fest im Griff einer dominanten Wirtschaftselite, die um jeden Preis ihren Wirtschaftsstandort verteidigt und jede Innovation, jede Revolution im Keim zu ersticken sucht. Das dürfen wir nicht zulassen! Was wir brauchen, ist ein neues Wirtschaftssystem, eines, das unserem Ideenreichtum wieder Raum gibt und die Menschheit weiter wachsen lässt. Und wir brauchen es jetzt!

Je größer die Katastrophe wird, desto kleiner erscheinen die Alternativen - so könnte man die gegenwärtige Lage zusammenfassen. Trotz der gewaltigen ungelösten sozialen und ökologischen Probleme werden Marktwirktschaft und parlamentarische Demokratie weiterhin als die einzigen effizienten und zukunftsträchtigen Modelle menschlichen Zusammenlebens präsentiert. Während die sozialen Widersprüche zunehmen, wachsen das Leiden und das Unbehagen an dieser Aussichtslosigkeit. Es ist an der Zeit, eine widerständige Alternative in Erinnerung zu rufen, in der Kritisches und Visionäres, Analytisches und Programmatisches zusammenkommen, um die herrschenden Verhältnisse in Frage zu stellen. Eine undogmatische und anti-ideologische Tradition, die alternative Visionen menschlichen Zusammenlebens und -wirkens anbietet: Anarchismus 2.0!

Occupy Wall Street! Mit diesem Aufruf besetzt im September 2011 eine Gruppe von Aktivisten den Zuccotti-Park im New Yorker Finanzdistrikt. Sie wollen friedlich gegen die Finanzmärkte und Banken, die ungerechte Verteilung der Vermögen sowie die Untätigkeit der Politik demonstrieren. Was steckt hinter dieser Bewegung, die in kurzer Zeit Millionen Menschen rund um den Globus mobilisiert? Was steckt hinter den Guy-Fawkes-Masken der Besetzer? Was steckt hinter ihrem Mut und ihrem Zorn? Der Vordenker und Aktivist David Graeber berichtet aus erster Hand, wie alles begann, wie die Bewegung stark werden konnte und warum dies erst der Anfang ist.

Occupy Wall Street Mit diesem Aufruf besetzt im September 2011 eine Gruppe von Aktivisten den Zuccotti-Park im New Yorker Finanzdistrikt. Sie wollen friedlich gegen die Finanzmnrkte und Banken, die ungerechte Verteilung der VermAgen sowie die Untntigkeit der Politik demonstrieren. Was steckt hinter dieser Bewegung, die in kurzer Zeit Millionen Menschen rund um den Globus mobilisiert? Was steckt hinter den Guy-Fawkes-Masken der Besetzer? Was steckt hinter ihrem Mut und ihrem Zorn? Der Vordenker und Aktivist David Graeber berichtet aus erster Hand, wie alles begann, wie die Bewegung stark werden konnte und warum dies erst der Anfang ist.aBiographische InformationenDavid Graeber, Jahrgang 1961, ist amerikanischer Anarchist und Kulturanthropologe sowie Mitglied der Gewerkschaft Industrial Workers of the World. Bis Juni 2007 war er auerdem Professor fr Ethnologie an der Yale University. Er ist Autor zahlreicher Bcher, darunter Frei von Herrschaft1/2 sowie Schulden1/2.\"

Todo libro de economía hace la misma aseveración: el dinero se inventó para dar solución a la complejidad creciente de los sistemas de trueque. Esta versión de la historia tiene un grave problema, no hay evidencia alguna que la sustente. David Graeber, uno de los antropólogos más reputados del mundo, expone una historia alternativa a la aparición del dinero y los mercados, y analiza cómo la deuda ha pasado de ser una obligación económica a una obligación moral. Desde el inicio de los primeros imperios agrarios, los humanos han usado elaborados sistemas de crédito para vender y comprar bienes, antes incluso de la invención de la moneda. Es hoy, transcurridos 5000 años, cuando por primera vez nos encontramos ante una sociedad dividida entre deudores y acreedores, con instituciones erigidas con la voluntad única de proteger a los prestamistas. A la estela de la gran crisis que padecemos se hace imprescindible analizar la naturaleza de la deuda, el dinero y las instituciones financieras que tienen el destino del mundo en sus manos, desmontar ideas encastradas en nuestra conciencia colectiva y superarlas conociendo cuál es la verdadera historia de la economía, o lo que es lo mismo, de la relación del ser humano con el dinero. Al margen, por supuesto, de mitos -el truque- o de postulados que tienen más de ideológico que de histórico. En deuda es una crónica fascinante, pertinente y brillante que viene a poner luz sobre el debate más importante que ha tenido lugar en los últimos años.

In uno stile colloquiale e diretto, attraverso l''indagine storica, antropologica, filosofica, teologica, Graeber ribalta la versione tradizionale sulle origini dei mercati. Mostra come l''istituzione del debito sia anteriore alla moneta e come da sempre sia oggetto di aspri conflitti sociali: in Mesopotamia i sovrani dovevano periodicamente rimediare con giubilei alla riduzione in schiavitù per debiti di ampie fasce della popolazione, pena la deflagrazione di tutta la società. Da allora, la nozione di debito si è estesa alla religione come cifra delle relazioni morali ("rimetti a noi i nostri debiti") e domina i rapporti umani, definendo libertà e asservimento. Mercati e moneta non sorgono automaticamente dal baratto, come sostengono gli economisti fin dai tempi di Adam Smith, ma vengono creati dagli stati, che tassano i sudditi per finanziare le guerre e pagare i soldati. Gli ultimi 5000 anni di storia hanno visto l''alternarsi di fasi di moneta aurea e moneta creditizia, fino al definitivo abbandono dell''oro come base del sistema monetario internazionale nel 1971. Graeber esplora infine la crisi attuale, nata dall''abuso di creazione di strumenti finanziari da parte delle grandi banche deregolamentate, e sostiene la superiorità morale di cittadini e stati indebitati rispetto a creditori corrotti e senza scrupoli che vogliono ridurre libertà e democrazia alla misura dello spread sui titoli pubblici.

Today''s capitalist systems appear to be coming apart - but what is the alternative? In a generation or so, capitalism may no longer exist as it''s impossible to maintain perpetual growth on a finite planet. David Graeber explores political strategy, global trade, violence, alienation and creativity looking for a new common sense.

A radical anthropologist studies the global justice movement.

An anthropologist investigates the revolution of everyday life.

An epic account of the power of memory in Madagascar.

In this work, David Graeber explores the implications of linking anthropology to anarchism.

This innovative book is the first comprehensive synthesis of economic, political, and cultural theories of value. David Graeber reexamines a century of anthropological thought about value and exchange, in large measure to find a way out of quandaries in current social theory that have become critical at a time of ideological collapse in the face of Neoliberalism. Rooted in an engaged, dynamic realism, Graeber argues that projects of cultural comparison are necessarily revolutionary projects: He attempts to synthesize the best insights of Karl Marx and Marcel Mauss, who represent two extreme, but ultimately complementary, possibilities in the shape such a project might take. Graeber breathes new life into the classic anthropological texts on exchange, value, and economy. He rethinks the cases of Iroquois wampum, Pacific kula exchanges, and the Kwakiutl potlatch within the flow of world historical process, and recasts value as a model of human meaning-making that far exceeds rationalist/reductive economist paradigms.